作词 : Olivio Ordonez/Florian Ordonez
作曲 : Jean-Etienne Maillard/Quentin Guglielmi
Bigflo & Oli, Bon Entendeur, ça en fait un monde
Elle voulait voir l'eau derrière la pluie
Ou au moins le monde derrière la vitre
Elle avait pas assez d'une planète
Elle s'inventait un système dans lequel elle était un satellite
Elle voulait voir d'autres couleurs
Celles que les mots ne peuvent pas décrire
Sentir les odeurs des humeurs
Celles que les Hommes ne veulent pas écrire
Elle était toujours au conditionnel
Toujours partante pour un voyage loin d'ici
Elle voulait être ce doute éternel
Que les courants d'air et que le vent dissipe
Elle voulait mourir et être immortelle
Etre amoureuse sans devoir aimer
Elle voulait connaître le poids de son âme
Pour s'en débarrasser
Elle voulait être libre
Il savait qu'il était pas comme les autres
À peine le bas de sa porte passé
Différent d'ailleurs, "les autres", lui, c'était comme ça qu'il nous appelait
Il voulait plus d'horaires mais avait gardé sa montre
Il y réglait les heures qu'il voulait vraiment vivre
Il voulait un ami dans chaque pays du monde
Et connaître les histoires, celles en dehors des livres
Il y croyait, en cette humanité qui se comprend
Avec des guerres d'amour et des morts de rire
Dans chacun de ses doutes, il avait confiance
Il aimait chanter le silence et dessiner le vide
Il voulait le goût du frisson sans une seule peur
Il avait trop d'amour pour un seul cœur
Il voulait une grande fable
Savoir si il y a autant d'étoiles que de grains de sable
Il voulait être libre
Tout le monde veut être libre
Personne veut être seul
Pas d'ordre à donner ou à recevoir
Personne à faire rêver ou à décevoir
Rien n'attendre des autres, pas d'espoir
Ni petits matins, ni grands soirs
J'avance
La liberté c'est de l'offrir à quelqu'un
La liberté c'est aimer
Personne ne m'a forcé
Je n'appartient à personne sauf à ceux où à celles que j'ai choisi
La liberté c'est de choisir au milieu de ces inconnues celle avec qui partager ça
L'inconnue
Elle marchait et courrait
Elle courrait et marchait
Se croisait à rythmes différents
Tout le monde a peur d'être soi même
De ses erreurs, mais pourtant il faut vivre, ça vaut le coup
Plonger, avancer, trébucher, hésiter, trembler
C'est ça qui est beau
Devenir soi même
Tu dis pas je transcende les interdis
Tu dis j'avance
Tu dis rien d'ailleurs, tu penses
Vas-y, saute
Vas-y ouvre grand tu t'en fou
Aller go les oiseaux go
Aller vole, vole gamin, vole, vole
On veut tous voler dans nos rêves personne veut marcher
Et puis on se réveille avec nos pieds, on est déçus
Et puis y'a ceux qui s'en foutent pas contre toi, pas conte nous
Qui s'en foutent parce qu'ils savent
Que c'est déjà miraculeux d'être là, d'être debout
C'est déjà une telle chance
Une telle ch
作词 : Olivio Ordonez/Florian Ordonez
作曲 : Jean-Etienne Maillard/Quentin Guglielmi
Bigflo & Oli, Bon Entendeur, ça en fait un monde
Elle voulait voir l'eau derrière la pluie
Ou au moins le monde derrière la vitre
Elle avait pas assez d'une planète
Elle s'inventait un système dans lequel elle était un satellite
Elle voulait voir d'autres couleurs
Celles que les mots ne peuvent pas décrire
Sentir les odeurs des humeurs
Celles que les Hommes ne veulent pas écrire
Elle était toujours au conditionnel
Toujours partante pour un voyage loin d'ici
Elle voulait être ce doute éternel
Que les courants d'air et que le vent dissipe
Elle voulait mourir et être immortelle
Etre amoureuse sans devoir aimer
Elle voulait connaître le poids de son âme
Pour s'en débarrasser
Elle voulait être libre
Il savait qu'il était pas comme les autres
À peine le bas de sa porte passé
Différent d'ailleurs, "les autres", lui, c'était comme ça qu'il nous appelait
Il voulait plus d'horaires mais avait gardé sa montre
Il y réglait les heures qu'il voulait vraiment vivre
Il voulait un ami dans chaque pays du monde
Et connaître les histoires, celles en dehors des livres
Il y croyait, en cette humanité qui se comprend
Avec des guerres d'amour et des morts de rire
Dans chacun de ses doutes, il avait confiance
Il aimait chanter le silence et dessiner le vide
Il voulait le goût du frisson sans une seule peur
Il avait trop d'amour pour un seul cœur
Il voulait une grande fable
Savoir si il y a autant d'étoiles que de grains de sable
Il voulait être libre
Tout le monde veut être libre
Personne veut être seul
Pas d'ordre à donner ou à recevoir
Personne à faire rêver ou à décevoir
Rien n'attendre des autres, pas d'espoir
Ni petits matins, ni grands soirs
J'avance
La liberté c'est de l'offrir à quelqu'un
La liberté c'est aimer
Personne ne m'a forcé
Je n'appartient à personne sauf à ceux où à celles que j'ai choisi
La liberté c'est de choisir au milieu de ces inconnues celle avec qui partager ça
L'inconnue
Elle marchait et courrait
Elle courrait et marchait
Se croisait à rythmes différents
Tout le monde a peur d'être soi même
De ses erreurs, mais pourtant il faut vivre, ça vaut le coup
Plonger, avancer, trébucher, hésiter, trembler
C'est ça qui est beau
Devenir soi même
Tu dis pas je transcende les interdis
Tu dis j'avance
Tu dis rien d'ailleurs, tu penses
Vas-y, saute
Vas-y ouvre grand tu t'en fou
Aller go les oiseaux go
Aller vole, vole gamin, vole, vole
On veut tous voler dans nos rêves personne veut marcher
Et puis on se réveille avec nos pieds, on est déçus
Et puis y'a ceux qui s'en foutent pas contre toi, pas conte nous
Qui s'en foutent parce qu'ils savent
Que c'est déjà miraculeux d'être là, d'être debout
C'est déjà une telle chance
Une telle ch