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作词 : ACHIM/Lordsham 作曲 : Siir Isaac/Tolec On regarde les anges avec nos darons C’est bien qu'y a truc qui tourne pas rond Mais nique sa mère je veux dans le mois ce que tu gagnes par an Que Dieu bénisse la concu Je les écoute et ça calme mes doutes Moi j’veux un chauffeur qui porte tes courses Parce qu'on en a chié depuis le B12 Tu peux donner des pièces à chaque coin de rue et rester quand même un fils de pute Le goût de la victoire dure le temps de la chute J'ai appris à savourer mes luttes T'es pas sûr d'encaisser le chèque même si tu gagnes sur les poteaux Santa Claus n’est qu'un intermittent qui tape la neige entre deux photos Joue plaquée sur béton brûlant Les sirènes de l'ambulance Habitués sur elle on danse Comme devant le vendeur ambulant À la fin de l'orage les balances sont à l'équilibre aux pieds des arcs en ciel On va passer de la boite de thon albacore À la boite séquentielle Je compte plus les anciens frères qui sont devenus des ennemis Je préfère le papier, le papier, le compter le jour, la nuit J’peux rien y faire, je retiens personne négro c’est la vie J’peux rien y faire, je retiens personne frérot c’est la vie Je compte plus les anciens frères qui sont devenus des ennemis Je préfère le papier, le papier, le compter le jour la nuit J’peux rien y faire, je retiens personne frérot c’est la vie J’peux rien y faire, je retiens personne frérot c’est la vie Les soirs de gamberge j'essaie de comprendre tout le monde même les gays racistes Personne peut gagner une guerre assis On sait pas se tenir quand le cœur insiste Je bois la tasse quand mon côté humain surnage dans mes pulsions Comme traverser un vestiaire féminin en gardant ses ablutions C'est la faim qui nous a mis là Je fais le pain, je quitte le village Suffit parfois d'une seule kichta Pour enfin voir leurs vrais visages Elle veut le destin de Nabila Les bijoux, les ppes-sa, les keus à 300k Ramasse ton tanga, tes tong et puis basta qu'est-ce tu crois Le Viano partira bien sans toi Je sais qui nous aime pas Je sais qu'ils veulent nous faire Mais je garde mon sang-froid J'écarte les salopes Qui font tout pour me plaire Qui sont pas là quand je serre Et que le pilon détend pas Que la vie mets des tampons Je compte plus les anciens frères qui sont devenus des ennemis Je préfère le papier, le papier, le compter le jour la nuit J’peux rien y faire, je retiens personne négro c’est la vie J’peux rien y faire, je retiens personne frérot c’est la vie Je compte plus les anciens frères qui sont devenus des ennemis Je préfère le papier, le papier, le compter le jour la nuit J’peux rien y faire, je retiens personne frérot c’est la vie J’peux rien y faire, je retiens personne frérot c’est la vie